Agnès Elisabeth Sam née en et morte en est une écrivaine sud-africaine[1].
Biographie
En 1860, l'arrière-grand-père d'Agnès Sam, alors âgé de neuf ans, est engagé comme esclave et amené à Durban, en Afrique du Sud sur le Lord George Bentinck II.
En 1973, après avoir brièvement enseigné les sciences en Zambie, elle s'exile en Angleterre où elle élève ses trois enfants tout en essayant d'obtenir un diplôme supplémentaire[4].
La plupart des histoires du premier recueil de Agnès, Jesus is Indian, paru en 1989, se déroulent à Port Elizabeth[2],[5].
Son premier roman,The Pragashini–Smuts Affair paru en 2009[6], est décrit comme « un récit puissant de la politique, de la ségrégation et de l'amour au-delà du clivage racial »[7]. Sa suite intitulée The Pragashini–Smuts Conspiracy parait en 2014[8].
Bibliographie
"South Africa: Guest of Honour Amongst the Uninvited Newcomers to England's Great Tradition" Kunapipi, vol. 7, n° 2 (1985), p. 92–96.
(en) Agnes Sam, Dora: a screenplay, York, Paloma Books, (lire en ligne)
Lien externe et œuvre supplémentaire
Flockemann, « Asian Diasporas, Contending Identities and New Configurations: Stories by Agnes Sam and Olive Senior », English in Africa, vol. 25, no 1, , p. 71–86
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Références
↑(en) Gareth Cornwell, Dirk Klopper et Craig Mackenzie, The Columbia Guide to South African Literature in English Since 1945, Columbia University Press, , 172–3 p. (ISBN978-0-231-50381-5, lire en ligne), « Sam, Agnes »
↑ ab et c(en) Jeanette Eve, A Literary Guide to the Eastern Cape: Places and the Voices of Writers, Juta and Company Ltd, (ISBN978-1-919930-15-2, lire en ligne), p. 88
↑(en) Margaret J. Daymond, Dorothy Driver et Sheila Meintjes, Women Writing Africa: The Southern Region, Feminist Press at CUNY, (ISBN978-1-55861-407-9, lire en ligne), p. 402